Rééquilibrage hormonal naturel
Le gattilier (Vitex agnus-castus) est une plante qui a une longue histoire d’utilisation en phytothérapie. Originaire du bassin méditerranéen, cette plante a été traditionnellement utilisée pour traiter une variété de problèmes de santé, y compris des troubles hormonaux chez les femmes.
Son utilisation remonte à l’Antiquité, où les baies de gattilier étaient consommées pour leurs propriétés bénéfiques.
L’une des applications les plus notables du gattilier est son utilisation pour atténuer les symptômes liés à la ménopause.
Une étude clinique de 2019, randomisée en double aveugle a été menée pour évaluer l’efficacité des extraits de gattilier dans le soulagement des symptômes de la ménopause (1). L’étude a été réalisée avec la participation de 52 femmes et a duré huit semaines. Les participantes ont été réparties de manière aléatoire en deux groupes : un groupe prenant des extraits de gattilier (26 sujets) et un groupe placebo (26 sujets).
Les résultats de cette étude ont montré que les femmes du groupe ayant pris des extraits de gattilier ont connu une amélioration significative des symptômes liés à la ménopause, notamment en ce qui concerne les bouffées de chaleur, l’anxiété et les symptômes globaux.
Pour l’anxiété, le groupe du gattilier a connu une réduction significative des scores (de 9,65 à 2,35) par rapport au groupe placebo (de 8,36 à 6,28).
Concernant les troubles vasomoteurs (bouffées de chaleur), le groupe du gattilier a montré une réduction significative des scores (de 3,73 à 0,46) par rapport au groupe placebo (de 3,76 à 2,72).
Pour les symptômes globaux (score total de la dysfonction ménopausique), le groupe du gattilier a enregistré une amélioration significative (de 29,54 à 12,15) par rapport au groupe placebo (de 26,88 à 20,12).
Une autre étude, publiée dans le Clinical Trial Complement Ther Nurs Midwifery en 20032, avait pour objectif d’évaluer les effets de deux huiles essentielles distinctes, issues des feuilles et des fruits de Vitex agnus castus, sur l’équilibre ménopausique. La première phase de cette étude a été réalisée en été 2000. Les résultats de cette première phase, basés sur les réponses de 23 participantes, ont indiqué un soulagement significatif des symptômes courants de la ménopause.
Une mise à jour de la recherche détaille les résultats de la deuxième phase des essais, menée en 2002 avec la participation de 52 sujets supplémentaires et sous la supervision de 12 praticiens de la santé différents. Les résultats de cette deuxième phase confirment les conclusions de la première phase.
Le gattilier est également connu pour son efficacité sur le syndrome prémenstruel (qui par certains aspects s’apparente à des symptômes de la ménopause).
Une étude, réalisée en 2011 par Mehrangiz Zamani, Nosrat Neghab et Saadat Torabian3, visait à évaluer l’effet thérapeutique de l’extrait de Vitex agnus castus chez les femmes souffrant du syndrome prémenstruel (PMS). Pour cela, les chercheurs ont mené une étude randomisée, contrôlée par placebo et en double aveugle.
Au total, 128 femmes atteintes de PMS (62 sous traitement actif, 66 sous placebo) ont été évaluées.
Les participantes ont répondu à un questionnaire d’auto-évaluation concernant leurs symptômes prémenstruels, notamment les maux de tête, la colère, l’irritabilité, la dépression, la plénitude des seins, les ballonnements et les douleurs abdominales.
Pendant 6 cycles menstruels consécutifs, les patientes ont reçu soit 40 gouttes d’extrait de Vitex agnus castus, soit un placebo. Après cette période, elles ont à nouveau répondu aux questionnaires d’auto-évaluation. Chaque symptôme a été évalué à l’aide d’une échelle visuelle analogique (EVA).
Les résultats ont montré des différences significatives entre le groupe sous Vitex agnus castus et le groupe placebo, à la fois avant et après le traitement (P<0.0001).
En conclusion, cette étude suggère que l’extrait de Vitex agnus castus peut être considéré comme un traitement efficace et bien toléré pour soulager les symptômes du PMS léger à modéré.
Le lin, une plante cultivée depuis des millénaires pour ses graines riches en nutriments, a été étudié dans de nombreux travaux scientifiques afin d’explorer son effet sur les désagréments associés à la ménopause, y compris les bouffées de chaleur et les troubles du sommeil.
Dans une étude publiée dans le Journal of the Society for Integrative Oncology en 20074, une investigation a été menée pour évaluer la tolérabilité et les effets d’un traitement de 6 semaines à base de graines de lin sur l’intensité des bouffées de chaleur chez les femmes qui ne souhaitaient pas recevoir de traitement hormonal substitutif.
Les critères d’éligibilité comprenaient la présence d’au moins 14 bouffées de chaleur par semaine pendant au moins 1 mois.
Au cours de la semaine de base, les participantes n’ont pris aucun médicament à l’étude et ont consigné les caractéristiques de leurs bouffées de chaleur.
Ensuite, des graines de lin écrasées ont été administrées à raison de 40 g par jour.
Les participantes ont fourni des rapports hebdomadaires sur la toxicité et des informations sur leur qualité de vie liée à la santé. Le critère d’évaluation principal était un changement du score des bouffées de chaleur, consigné de manière prospective dans un journal des bouffées de chaleur.
Trente femmes ont été inscrites entre le 17 juin et le 8 novembre 2005.
La diminution moyenne des scores de bouffées de chaleur après le traitement par les graines de lin était de 57 % (diminution médiane de 62 %).
La réduction moyenne de la fréquence quotidienne des bouffées de chaleur était de 50 % (diminution médiane de 50 %), passant de 7,3 bouffées de chaleur à 3,6.
Une action globale sur les symptômes de la ménopause
Les envies de sucre, ou la compulsion pour les sucreries, sont l’un des symptômes caractéristiques associés à la ménopause.
Plusieurs facteurs physiologiques et hormonaux contribuent à l’apparition de ces envies sucrées chez les femmes ménopausées.
La fluctuation des niveaux d’hormones, notamment des œstrogènes et de la progestérone, joue un rôle essentiel. Ces variations hormonales peuvent affecter le métabolisme, la régulation de l’appétit et l’équilibre émotionnel, contribuant ainsi à l’augmentation des envies de sucre.
En conséquence, de nombreuses femmes ménopausées se trouvent confrontées à des défis pour maintenir une alimentation équilibrée. L’excès de sucre peut entraîner une prise de poids, des fluctuations de la glycémie, des sautes d’humeur et même des problèmes de santé à long terme tels que le diabète de type 2 et les maladies cardiovasculaires.
D’après un article intitulé “Le chrome trivalent, son intérêt à la ménopause et au cours du vieillissement” (par A.M. Roussel)5, le chrome trivalent (Cr III) est un élément trace essentiel en nutrition humaine.
Son action en tant que potentialisateur de l’insuline, son rôle dans la modification de la liaison insuline/récepteur, ainsi que son impact sur le métabolisme lipidique en font un élément crucial pour maintenir la santé métabolique.6
Cependant, la plupart des régimes alimentaires dans les pays industrialisés sont souvent déficients en chrome trivalent, et les apports recommandés (ANC = 60 µg/jour) sont rarement atteints.
De plus, une alimentation riche en sucres à absorption rapide, courante dans ces régimes, peut augmenter l’élimination urinaire du chrome, accentuant ainsi les risques de déficit.
Ces déficits peuvent entraîner des déséquilibres métaboliques tels qu’une élévation de l’insuline, des taux de glucose, de cholestérol, de triglycérides et de LDL-cholestérol élevés, ainsi qu’une réduction du HDL-cholestérol.7
Les individus vieillissants, en particulier les femmes ménopausées, sont particulièrement vulnérables aux conséquences métaboliques et fonctionnelles des déficits en chrome.
Plusieurs problèmes associés à la ménopause, comme les dyslipidémies, la baisse de la sensibilité à l’insuline, le syndrome métabolique, l’obésité abdominale, une incidence accrue de maladies cardiovasculaires, d’ostéoporose et de dépression, sont liés à un statut déficitaire en chrome.8
Le maintien d’apports en chrome conformes aux ANC (60 µg/jour) pourrait contribuer à corriger ces troubles et à atténuer leurs conséquences.
Cependant, la diminution des apports alimentaires liée à l’âge rend difficile l’atteinte des ANC en chrome, en particulier chez les femmes ménopausées qui ont tendance à suivre des régimes restrictifs pour contrôler leur poids.
En outre, le vieillissement physiologique du tractus gastro-intestinal diminue l’absorption intestinale du chrome, réduisant ainsi les apports disponibles pour l’organisme.
Une étude récente menée en France9 a montré que plus de 90 % des participants, des personnes âgées en bonne santé et autonomes, n’atteignait pas les deux tiers des apports nutritionnels conseillés pour les adultes. Cette réduction du statut en chrome est associée à l’altération du système glucose/insuline, à la diminution de l’absorption intestinale, à la baisse de la rétention du chrome et à des pulsions sucrées fréquentes à la ménopause et chez les personnes âgées, ce qui augmente l’élimination urinaire.
Le chrome, la ménopause et le vieillissement sont ainsi des facteurs interdépendants qui demandent une attention particulière pour maintenir un équilibre métabolique optimal chez les individus vieillissants, en particulier chez les femmes ménopausées.
Les variations d’humeur, l’irritabilité, les insomnies sont très souvent ressenties par les femmes ménopausées.
La vitamine B6, également appelée pyridoxine, et la vitamine B9, connue sous le nom d’acide folique, sont deux vitamines essentielles qui jouent un rôle dans la régulation de l’humeur, en particulier chez les femmes ménopausées.
La vitamine B6 est impliquée dans la synthèse de certains neurotransmetteurs, notamment la sérotonine, la dopamine et la noradrénaline, qui sont essentiels pour la régulation de l’humeur.
Elle agit en facilitant la conversion du tryptophane (un acide aminé) en sérotonine, un neurotransmetteur associé à la sensation de bien-être. Chez les femmes ménopausées, une carence en vitamine B6 peut entraîner une diminution de la production de sérotonine, ce qui peut contribuer à des symptômes dépressifs et à des sautes d’humeur. En augmentant les apports en vitamine B6, il est possible de favoriser la synthèse de sérotonine, ce qui peut avoir un impact positif sur l’équilibre émotionnel.
La vitamine B9 (acide folique) est essentielle pour la santé du système nerveux et joue un rôle clé dans la régulation de l’humeur. Chez les femmes ménopausées, une carence en acide folique peut entraîner une augmentation des niveaux d’homocystéine, un acide aminé lié à la dépression et à d’autres problèmes de santé mentale. L’acide folique participe à la méthylation, un processus biochimique qui affecte la régulation de l’humeur en influençant la production de neurotransmetteurs.
En augmentant l’apport en vitamine B9, il est possible de réduire les taux d’homocystéine et de favoriser un équilibre émotionnel plus stable.
L’étude intitulée “High-dose Vitamin B6 supplementation reduces anxiety and strengthens visual surround suppression”10 a été publiée dans Human Psychopharmacology: Clinical and Experimental.
Cette étude examine les effets de la supplémentation en vitamine B6 (pyridoxine) et en vitamine B12 sur divers aspects du comportement liés à l’équilibre entre l’inhibition neuronale et l’excitation.
Les chercheurs ont mené une étude en double aveugle avec la participation de 478 jeunes adultes et ont évalué l’anxiété et la dépression autodéclarées, ainsi que plusieurs mesures sensorielles.
Les résultats indiquent que la supplémentation en vitamine B6 a réduit l’anxiété autodéclarée.
La vitamine B12 a également montré des tendances à modifier l’anxiété. Ces résultats suggèrent que les vitamines B6 et B12 pourraient jouer un rôle dans la modulation de l’équilibre entre l’inhibition neuronale et l’excitation, ce qui pourrait avoir des implications pour la gestion de l’anxiété et de la dépression.
Le phénomène de glycation est particulièrement marqué durant la ménopause. Il s’agit d’un processus chimique dans lequel des molécules de sucre, telles que le glucose, se lient à des protéines, des lipides ou d’autres composants du corps sans l’intervention d’enzymes. Cette réaction chimique se produit naturellement, mais elle peut être accélérée en cas de taux de sucre sanguin élevé et de stress oxydatif.
Pendant la ménopause, certaines femmes peuvent éprouver des changements métaboliques qui augmentent leur sensibilité à l’insuline, ce qui peut entraîner des fluctuations de la glycémie. Des taux de sucre sanguin élevés favorisent alors la glycation excessive, ce qui entraîne la formation de produits finaux de glycation avancée (AGE).
Ces AGE peuvent s’accumuler dans les tissus et contribuer à des problèmes de santé liés à la ménopause, notamment des complications vasculaires, des troubles cardiovasculaires et des problèmes oculaires.
Pour minimiser les effets néfastes de la glycation et maintenir un métabolisme sain pendant la ménopause, le bêta-alanine, un précurseur de la carnosine s’avère très intéressant.
Une étude, publiée dans le Journal de la Société de Biologie11, révèle l’effet cytotoxique des produits avancés de la glycation (AGE-s) sur les cellules de l’organisme. Les AGE-s, résultant de la réaction de Maillard, sont associés à des effets nocifs sur les cellules et les tissus, contribuant aux maladies liées à l’âge.
Cependant, cette cytotoxicité peut être inhibée par des capteurs radicalaires tels que la L-Carnosine.
La vitamine C s’associe à la bêta-alanine pour limiter le phénomène de glycation. Dans un modèle animal de 200212, des souris obèses et hyperglycémiques ont reçu de la vitamine C, et cela a réduit la glycation de l’insuline, une hormone importante pour la régulation du sucre dans le sang.
En d’autres termes, la vitamine C a aidé à prévenir une réaction chimique indésirable entre le sucre et l’insuline, ce qui a amélioré la gestion du sucre dans le corps de ces souris obèses.
1. Naseri, R., Farnia, V., Yazdchi, K., Alikhani, M., Basanj, B., & Salemi, S. (2019). Comparison of Vitex agnus-castus Extracts with Placebo in Reducing Menopausal Symptoms: A Randomized Double-Blind Study. Korean Journal of Family Medicine, 40(6), 362-367. doi:10.4082/kjfm.18.0067.
2. Chopin Lucks, B. (2003). Vitex agnus castus essential oil and menopausal balance: a research update [Complementary Therapies in Nursing and Midwifery 8 (2003) 148-154]. Clinical Trial Complement Ther Nurs Midwifery, 9(3), 157-160. doi: 10.1016/S1353-6117(03)00020-9.
3. Zamani, M., Neghab, N., & Torabian, S. (2011). Therapeutic effect of Vitex agnus castus in patients with premenstrual syndrome. Journal of the American Board of Family Medicine, 24(2), 150-154.
4. Pruthi, S., Thompson, S. L., Novotny, P. J., Barton, D. L., Kottschade, L. A., Tan, A. D., … Loprinzi, C. L. (2007). Pilot evaluation of flaxseed for the management of hot flashes. Journal of the Society for Integrative Oncology, 5(3), 106-112. doi: 10.2310/7200.2007.007.
5. A.M. Roussel. Le chrome trivalent, son intérêt à la ménopause et au cours du vieillissement”, “Revue générale” de l’LBFA/INSERM 884, Université Joseph Fourier, Grenoble
6. Anderson ra. Chromium and insulin resistance. Nutr Res Rev, 2003 ; 16 ; 267-275.
7. Anderson ra. Chromium, glucose intolerance and diabetes. J Am Coll Nutr, 1998 ;17 : 548-555
8. Ferry m. Nutrition de la personne âgée,2e édition, Masson, Paris, 2002 ; 73-81.9. Roussel am, andriollo m, bryden Net al. Food chromium content, dietary chromium intake and related biological variables in French free-living elderly. Br J Nutr, 2007 ; 98 : 326-331.
10. Field, D. T., Cracknell, R. O., Eastwood, J. R., Scarfe, P., Williams, C. M., Zheng, Y., & Tavassoli, T. (2022). High-dose Vitamin B6 supplementation reduces anxiety and strengthens visual surround suppression. Human Psychopharmacology: Clinical and Experimental, 1-18. https://doi.org/10.1002/hup.2852
11. Ravelojaona, V., Péterszegi, G., Molinari, J., Gesztesi, J. L., & Robert, L. (2007). Demonstration of the cytotoxic effect of Advanced glycation Endproducts (AGE-s). Journal de la Société de Biologie, 201(2), 185-188. DOI : https://doi.org/10.1051/jbio:2007023
12. Abdel-Wahab, Y. H. A., O’Harte, F. P. M., Mooney, M. H., Barnett, C. R., & Flatt, P. R. (2002). Vitamin C supplementation decreases insulin glycation and improves glucose homeostasis in obese hyperglycemic (ob/ob) mice. Metabolism, 51(4), 514-517. https://doi.org/10.1053/meta.2002.30528
La ménopause est une phase naturelle de la vie d’une femme, définie par l’arrêt des règles depuis plus d’un an, généralement survenant entre 45 et 55 ans, avec une moyenne d’âge de 51 ans en France.
Elle résulte de l’arrêt du fonctionnement des ovaires, ce qui entraîne une carence hormonale, notamment en estradiol, l’œstrogène principal de la femme.
La ménopause est souvent précédée par une période de périménopause, durant laquelle les règles peuvent devenir irrégulières et divers symptômes peuvent se manifester, comparables à ceux ressentis durant le syndrome prémenstruel (seins douloureux, irritabilité…)
87% des femmes présentent au moins un symptôme en plus de l’arrêt des règles (source Inserm).
L’arrêt des règles est causé par l’épuisement progressif du stock initial d’ovocytes, qui diminue régulièrement tout au long de la vie d’une femme. Les ovaires libèrent un ovocyte à chaque cycle menstruel, sous l’influence des hormones FSH et LH.
Lorsque le stock d’ovocytes est épuisé, les taux d’œstrogènes et de progestérone deviennent erratiques, provoquant ainsi les symptômes de la périménopause.
Les œstrogènes jouent un rôle clé dans diverses fonctions du corps de la femme, notamment dans le système cardiovasculaire en améliorant la fonction vasculaire et en régulant la pression artérielle.
Ils contribuent également à la santé osseuse en préservant la densité minérale des os et en limitant la résorption osseuse. De plus, les œstrogènes ont des effets bénéfiques sur le tissu cérébral en favorisant le bon fonctionnement cognitif.
Les symptômes de la ménopause, tels que les bouffées de chaleur, la sécheresse vulvovaginale, les troubles du sommeil et de l’humeur, la fatigue, sont souvent causés par la fluctuation hormonale.
20 à 25% souffrent de troubles sévères qui affectent leur qualité de vie.
Ces symptômes peuvent varier en intensité et persister pendant plusieurs années. Cependant, les femmes ne réagissent pas toutes de la même manière à cette transition hormonale.
Une compréhension approfondie de cette période de transition est essentielle pour mieux la gérer et maintenir une bonne qualité de vie.
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